Ifop révèle pourquoi les Français font moins l'amour

Des chiffres qui choquent

Mise en lumière sur l’étude menée par l’Ifop qui révèle pourquoi les Français font moins l’amour,
des chiffres clés qui observent une tendance inquiétante de la diminution d’activité sexuelle chez les couples.
Entre causes et genres, nous vous expliquons

Entre dépression, temps d’écran ou encore nouvelle génération, et d’autres facteurs, pourquoi ces chiffres deviennent si inquiétants ?
Et oui, une étude expliquée par l’Ifop sur le sexe, révèle que l’activité sexuelle des Français perd en intensité au vue de la fréquence hebdomadaire des rapports sexuels :
Aujourd’hui, 43% des Français(es) rapportaient avoir, en moyenne, un rapport sexuel par semaine, contre 58% en 2009.
Mais alors, pourquoi une telle chute ?

Les chiffres clés :

Le sexe n'intéresse plus les français

A l’heure actuelle, énormément de couples se disent prêts à vivre une relation d’amour sans activité sexuelle.
Il existe une forte dissociation entre la conjugalité et l’activité sexuelle en 2024.
Alors qu’en 1980, les français considéraient le sexe comme le ciment du couple, l’asexualité ou presque prend de plus en plus de place dans nos ménages.
Certains chiffres s’expliquent par le fait que les femmes affirment leurs refus face aux avances de leur partenaire, contrairement à avant (1980 et moins),
Mais également par un désintérêt face à cette pratique qui n’a pas réellement son importance au sein du couple.

52% des femmes âgées de 18 à 49 ans déclarent qu’il leur arrive de faire l’amour sans en avoir envie, contre 76% en 1981.

42% Des hommes contre :
54% Des femmes

Plus de la moitié des femmes adultes déclarent qu’elles pourraient continuer à vivre avec quelqu’un dans une relation purement platonique (+ 14% par rapport à 1981).

62% des Françaises accordent aujourd’hui de l’importance à la sexualité dans leur vie, contre 82% en 1996.

« Étude Ifop pour LELO réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 29 décembre 2023 au 2 janvier 2024 auprès d’un échantillon de 1 911 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus »

De plus, une étude menée par des chercheurs français du laboratoire de neuroplasticité,
affirment également que les phtalates sont identifiés comme des perturbateurs endocriniens, qui ont un réel impact sur la libido.

les activités sexuelles numériques

Parmi les raisons évoquées pour expliquer cette baisse de l’activité sexuelle, on retrouve notamment l’omniprésence des écrans et des smartphones.
Cette phrase que l’on entend partout, et qui, honnêtement, ne nous alarme pas plus que ça : “Les réseaux sociaux sont réellement mauvais pour le couple”.
L’avènement des smartphones, des réseaux sociaux et des plateformes de streaming pornographiques a radicalement transformé nos modes de vie.
Et bien, cette étude nous le confirme une nouvelle fois, les réseaux sociaux prennent une place considérable dans nos vies,
 jusqu’à ne plus avoir envie de faire l’amour mais plutôt de swiper sur nos écrans.

Des chiffres qui inquiétants qui nous amène à nous questionner :
Y-a-t-il une réelle baisse de libido face à nos écrans ?
Où est-ce ces nouvelles normes sociales idéalisées qu’ils affichent qui nous complexes ?
Cette étude n’a pas répondu à ces questions, mais cela ne nous empêche pas de nous questionner ?

La moitié des hommes de 35 ans vivant en couple sous le même toit, (50%, contre 42% des femmes) reconnaissent avoir déjà évité un rapport sexuel pour regarder un série/films à la télévision.

Les réseaux sociaux, partage de photos ou de vidéos (préférés au sexe par 48% des hommes de moins de 35 ans vivant en couple).

« Étude Ifop pour LELO réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 29 décembre 2023 au 2 janvier 2024 auprès d’un échantillon de 1 911 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus »

La dépression chez les Français

Une nette réalité se fait entre les années 80 à aujourd’hui, les Français étaient beaucoup moins stressés et anxieux avant.
Triste constat, 95 % des Français âgés de 18 ans et plus déclarent avoir au moins une grande source de stress ou d’anxiété.
Seulement 5 % des personnes interrogées déclarent ne pas être stressées, ni anxieuses.

Nul besoin de préciser que la libido en prend un coup, laissant les ménages angoissés la plupart du temps,
par les préoccupations d’ordre économique ou familiale ou crise mondiale.
D’ailleurs, nous avons atteint un nouveau record : Il n’y a jamais eu autant d’anti dépresseurs prescris aux jeunes qu’à nos jours.
L’état de mal-être inquiétant des Français joue un grand rôle dans la baisse de libido qui peut diminuer considérablement. 

Les sextoys depuis le Covid

ont-ils remplacé le sexe en couple ?

Plusieurs études ont été menées sur l’utilisation des sextoys chez les Français, et de l’impact qu’ils auraient dans la société.
Certains chiffres sont réellement à l’opposé de ce que l’on pourrait penser.
Pour faire le lien avec l’étude sur le fait que les français font moins l’amour, François Kraus de l’Ifop donne sont avis en expliquant la banalisation de ces objets sexuels pour couple qui deviennent une banalité et une normalité dans notre société.
L’achat d’un sextoy pour couple devient tout à fait “normal”, et la plupart d’entre eux en achète pour leurs facultés à produire des sensations extrêmes d’orgasmes qui seraient bénéfiques pour booster leur libido.

Puisque l’association courante des sextoys est souvent limitée à l’acte de la masturbation,
cette recherche sur le bien-être sexuel met en évidence principalement leur pertinence au sein d’une relation de couple.
Dans ce contexte, les sextoys favorisent l’exploration de pratiques ludiques tout en facilitant le respect de l’idée d’une satisfaction mutuelle lors de l’orgasme.

La population ayant déjà utilisé un sextoy a dépassé pour la première fois le seuil symbolique des 50% : 51% précisément, soit un niveau record (48% en 2017, 37% en 2012, 9% en 2007, 7% en 1992).

L’usage des sextoys s’inscrit plus dans un cadre conjugal que solitaire… Les Français en ayant déjà utilisé à deux (46%) contre à peine (34%) pour une utilisation en solo.

Conclusion

La “Sex recession” reste donc un ensemble de phénomènes pouvant expliquer cette chute significative.
Peut être vous êtes vous reconnus dans quelques-unes de ces raisons.
Rappelons que ces études le l’Ifop appellent à une réflexion plus profonde sur la façon dont nous pouvons promouvoir
une sexualité épanouie et équilibrée dans un monde en constante évolution.

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